Immigration, la suite : le maudit français en mal de (bon) vin rouge pas cher

Pinard et camembert. Cuisine et dépendance. Immigrer, écrivais-je dans un précédent billet, c’est laisser une part de soi dans son pays d’origine et poursuivre l’aventure en remisant quelques menus souvenirs sans importance dans un recoin de sa mémoire. Et puis, il y a ces choses pour lesquelles transiger est tout simplement inimaginable. Le vin et le fromage sont de ceux-là, qui me renvoient à ma condition de satané français. A tout le moins à sa caricature…