21 septembre 2010
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Paisible comme un ponton amarré sur un lac canadien
Un ponton sans rien au bout, ça donne un peu le vertige. Comme un virage en épingle à cheveux sur une petite route de montagne. C’est la peur du vide. Un ponton sans rien au bout, cela me fait penser immanquablement à la pub pour le parfum Fahrenheit de Dior.