Et voilà que M. Harper, premier ministre canadien, avoue un penchant pour la peine de mort…
Ultra-conservateur, on vous dit. Après les débats troublés de ces derniers mois autour du droit à l’avortement ou des armes à feu, des débats ravivés par les siens, le Premier ministre canadien a de nouveau fait étalage de ses convictions profondes, cette fois-ci en reconnaissant être « personnellement favorable » à la peine capitale « dans certains cas ». La peine de mort a été abolie au Canada en 1976.