A l’école de la boite à lunch…

Finis les temps cantine interminables, les tatas qui braillent, les menus à 2,30 euros du leader mondial des solutions de qualité de vie au quotidien… désormais, c’est vive la boite à lunch ! Lorsqu’on ne connaît pas, la boite à lunch, c’est un peu concept. On ne sait pas très bien tout ce que cela recouvre et, en même temps, on sent bien qu’il y a du Tupperware dans cette affaire-là.

Le marché Jean-Talon

J’avais déjà eu l’occasion de découvrir le marché Jean-Talon avec des personnes qui le pratiquent depuis longtemps, qui savent où trouver les bons...

De l’immigrant à l’immigré, où se situe le point de bascule ?

Ma situation d’immigration n’est pas difficile à vivre. Bien moins en tout cas que celle de millions de migrants de par le monde. Bien moins que celle de milliers de migrants en France à l’heure actuelle. Il n’en demeure pas moins que je suis, à ma manière, un migrant, avec sa dose de déracinement, de doutes et de craintes. Et même jusqu’à présent, un migrant sans-papiers.

La ruelle

La ruelle. Un petit bout d’asphalte à peine plus large qu’une voiture, qui sépare le « bloc » en deux dans le sens de la longueur et offre un terrain de jeu merveilleux aux enfants. En mars dernier, j’en avais photographiés jouant au hockey. Les miens, pour l’instant, y font du vélo et découvrent un bel espace de liberté. La ruelle, c’est aussi

La polémique autour du recensement canadien

La polémique autour de l’abandon du questionnaire long obligatoire du recensement canadien, annoncé au début de l’été par le premier ministre conservateur Stephen Harper, ne cesse de rebondir. Les enjeux que recouvre cette décision ne sont pas évidents à appréhender. Pourtant, ils témoignent de la singularité du fédéralisme canadien: un assemblage d’identités multiples, minoritaires, qui, pour exister, n’auraient d’autre choix que d’être recensées.

Politique française: le New-York Times appuie là où ça fait mal… à la démocratie

Il ne m’aura fallu que quelques jours sans internet pour mesurer l’incroyable et dangereuse capacité de rebond de Nicolas Sarkozy. Ayant quitté l’hexagone le 27 juillet dernier, j’en étais benoîtement resté à « l’affaire Woerth » et à ses innombrables rebondissements. Affaire qui tardait à devenir d’Etat mais qui ne manquait tout de même pas d’intérêt.