La Ligne Verte

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Grand jeu concours: le Robert Junior est-il vraiment sexiste ou fait-il semblant ?

Par un phénomène totalement indépendant de ma volonté, le billet que j’ai consacré en mars dernier au Robert Junior – relire ici – est parti ces derniers jours vivre sa vie sur la grande toile globalisée. À ma grande surprise, il a été lu 18 000 fois au cours des sept derniers jours ! Il a filé sur Facebook et Twitter, bondissant de compte en compte, d’un côté comme de l’autre de l’Atlantique. En vérité, j’ai perdu sa trace assez rapidement. Le sujet  – les exemples sexistes utilisés pour illustrer de nombreux mots du dictionnaire – intéresse. C’est bien là l’essentiel.

La démocratie doit protéger l’action citoyenne

En Français, on les appelle Poursuites stratégiques contre la mobilisation publique. Mais leur acronyme anglais fait référence. Les SLAPP (Strategic Lawsuit Against Public Participation) sont des actions en justice qui visent à entraver la participation politique et le militantisme. Généralement engagées par des entreprises privées contre des citoyens, en leur nom propre ou regroupées au sein de mouvements collectifs, elles ont pour objectif principal de réduire au silence l’action citoyenne.

Dans « un grand souci pédagogique », Le Robert Junior stigmatise les filles

Tout est parti du mot « sournois ». C’était au cours d’une soirée sympathique en famille. Le mot a été utilisé au cours de la conversation, certains prétendant qu’il n’était pas si négatif que cela, les autres défendant l’idée contraire. Il fallait donc les départager. Le Petit Robert Junior (édition nord-américaine) devait servir à cela. Une fois le mot « sournois » défini, lecture fut faite de l’exemple qui l’illustrait: « C’est une petite fille sournoise » (p. 990). C’est à ce moment précis que la soirée a basculé.

Les RIDM tricotent serrées fiction et réalité

Le monde trépigne, souffre, étouffe. Le monde se révolte, s’indigne et se prend à espérer. Ses habitants se cherchent, hésitent, expérimentent, observent, meurent aussi, se souviennent, s’aiment et vivent aussi. A foison, à profusion. C’est un peu tout cela, le cœur des Rencontres internationales du documentaire de Montréal.

Occupy Montréal, J+1

Depuis quelques semaines, je passe chaque matin par le Square Victoria, coeur du quartier des affaires, des banques et de la bourse de Montréal. Pour allez bosser, pardi. Depuis hier, les indignés d’Occupy Montréal/Occupons Montréal ont planté leurs tentes sous les arbres du petit square où, à l’heure du brunch, les salariés du quartier avaient leurs habitudes et, moi, l’habitude de les observer. Vers 15h ce samedi, le mouvement a tenu son assemblée générale.

« Maskwesiwin Papiwin » et « Déboires », deux courts-métrages du cinéma des Premières Nations

Des petites pépites pleines de vie nées dans le cadre du projet Wapikoni mobile, un studio ambulant de formation et de création audiovisuelles et musicales qui circule depuis sept ans dans les communautés des Premières Nations du Québec. « Maskwesiwin Papiwin » (« la Force du rire ») est un court-métrage joyeux et… qui donne faim! « Déboires », lui, ne donne pas soif mais le film de Délia Gunn