Cet hiver à vélo, elle trouve qu’on l’a « échappé chaud »
En 2014, je pensais avoir vécu mon dernier hiver à vélo avec ma fille sur le porte-bagage. En fait, ça n'a pas été le cas. Nous avons...
En 2014, je pensais avoir vécu mon dernier hiver à vélo avec ma fille sur le porte-bagage. En fait, ça n'a pas été le cas. Nous avons...
En novembre dernier, le gouvernement canadien a mis en place une réforme du Programme des aides familiaux qui introduit en particulier la fin de l’obligation...
Le dernier billet sur ce blogue date un peu, avoue. C’était un temps où le mot « chaud » avait encore un sens. Depuis, il a été remplacé par l’expression « vortex polaire ». Entre les deux? Une soixantaine de degrés Celsius de différence. Et puis quelques mois aussi. Il se trouve que j’ai tout plein de bonnes excuses pour justifier une si longue absence. Mais je ne les énumérerai pas. Fait trop froid. Si j’ôte mes mitaines pour tripoter mon qwerty un peu plus longtemps que de coutume, c’est que j’ai un aveu à faire.
Le temps d’un été, chauffé par le soleil brûlant des Laurentides et bien arrosé de l’eau de la Rivière Rouge, l’enfant a poussé sans s’en apercevoir. Il dépasse désormais en taille ses parents. Pourtant, le temps qui passe ne s’accélère pas. Il file juste. Se faufile entre les grains de sable d’une plage d’ocre, se cache dans l’ombre d’un nuage qui enrubanne les hauteurs du Mont Mansfield, se perd
Une nouvelle campagne d’exploration est menée cet été par la société Hydrocarbures Anticosti afin de déterminer si, oui ou non, le sous-sol de l’île d’Anticosti renferme du pétrole de schiste. Depuis trois ans, les compagnies pétrolières font miroiter un potentiel de plusieurs dizaines de milliards de barils.
On l’a cherché dans Chinatown, sur Queen Street, dans le Distillery district, en haut de la Tour CN, au bord du Lac Ontario. Il n’était pas non plus caché parmi les milliers de coureurs du 10 km de Toronto… Non, rien à faire. Nous sommes passés rapido dans la ville de Rob Ford cette fin de semaine – ici pour en savoir plus sur l’impétrant -, mais Rob Ford n’y était pas.
Il a été long en maudit, celui-là. Ce n’est pas permis de faire des hivers qui durent autant.
Pour fêter le retour du printemps, nous avons fait une petite promenade sous le soleil d’Oka, avec juste une petite laine sur les épaules, rien de bien épais, hein, vu les conditions météo, c’eut été idiot d’empiler les couches. Ambiance banquise…
Rob Ford est le maire de Toronto. Il boit comme un trou, fume du crack avec des dealers, du pot autant qu’il est possible d’en fumer (c’est lui qui le dit) et raconte autant de bobards qu’il est possible d’en raconter. Mais il est le maire de Toronto et entend bien le rester. L’impétrant dirige donc la 1ère ville du Canada (même si je ne suis pas certain qu’il se maintienne en poste encore très longtemps).
Qui est le plus à même de définir l’usage d’un projet architectural : son concepteur ou son utilisateur ? Dans un subtil jeu d’équilibre pour faire prévaloir l’intérêt général, chacun cherche sa place… (Une partie de ma modeste contribution à un dossier passionnant de la revue Esquisses sur l’architecture et le citoyen – pour celles et ceux que le sujet passionne…)
Les lecteurs de ce blogue ne seront pas surpris par mon absence des derniers mois. Le temps passe toujours aussi vite. Seul le flegme d’un ponton sur le lac est capable de stopper sa marche en avant. L’humeur imperturbable d’un ponton le préserve des risées ciselant la surface de l’eau, de l’insolence du soleil et des brumes d’aurore humides et ensorcelantes. Le temps n’a pas de prise sur le ponton.
Il y a une bonne dose d’adrénaline, de la sueur et des larmes, de l’action, du suspens et un sens peu commun du spectacle. Le roller derby est un monde à part, singulier et passionnant, féministe et sportif, punk et hipster, addictif aussi mais sans danger pour la santé. Enfin, presque…
Depuis deux ans, l’actualité des écoles montréalaises est rythmée par la découverte de nouveaux cas de moisissures, de contamination fongique, de conduits d’aération propulsant un air vicié. Depuis deux ans, des écoles ferment. Les élèves sont relocalisés dans des établissements dont on découvre après coup qu’ils sont eux-mêmes insalubres. Alors, d’autres écoles ferment et attendent d’être décontaminées ou reconstruites.