Immigration: nostalgie, deuil et liniment oléocalcaire
En immigrant, on laisse forcément beaucoup derrière soi. Famille, amis, relations professionnelles, objets, paysages, odeurs, émotions, habitudes. Autrement dit (comme disent les psys): souvenirs sensoriels, tradition familiale et communauté culturelle. Il faut donc, d’une certaine manière, se reconstruire en arrivant dans son nouveau pays, chacun en fonction de sa propre histoire.